Que c'est bon de marcher ainsi,
Au pied de la montagne blanchie,
Sur ce chemin doux à mes pas,
Sous un ciel bleu de bon aloi,
Si bien, seul avec moi-même,
Pour penser à ceux que j'aime,
Tout aussi loin qu'ils peuvent être,
De leur pensée, puis-je me repaître,
Et ces instants me sont si doux,
Que je ne sens plus...mes genoux